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Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr |
| Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Ven 20 Juin - 17:49 |
| enchanté, moi c'est Carmin informations du personnage • Dit : Le Catalyseur. • Descendant de : Sagittaire. • Origine : Zodiaque occidental. • Héritage : Anesthésie émotionnelle. •• Carmin peut plus ou moins anesthésier les douleurs émotionnelles. Pour un temps, et par contact physique. Mais elle a un contre-coup, plus tard.
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Carmin est là, assise par terre. Le soleil chauffe sa peau, mais son humeur reste d'ombre. La brune a le dos contre le mur pour s'appuyer, la brune a les genoux remontés contre elle, la brune a ses bras qui emprisonnent ses jambes. Elle a le cœur gros, surtout, Carmin. Lourd comme une pierre tombale. Les rayons la heurtent et brûlent sa peau sans lui arracher un de ses sourires. Sa chaleur habituelle est éteinte.
Carmin est là, assise par terre. La foule passe et repasse, mais cachée dans sa ruelle personne ne lui prête attention. La Catalyseur sent cette vie débordante, usante, cette vitalité qui lui manque à l'instant. Et ça lui coupe le souffle. Comment les gens font-ils pour rester debout, pour avancer ? Elle ne peut pas, c'est trop d'énergie pour son corps épuisé. Elle est plombée, Carmin. Alourdie d'une peine qui n'est même pas à elle et qui la noie malgré tout. Ça passera. Tout finit par passer. Elle n'a juste pas eu le temps de se préparer, de s'isoler. Juste pas le temps de se trouver un bout de verdure pour respirer autre chose que la vie grouillante de la cité. Ça lui est tombé dessus d'un coup, sans semonce ni délicatesse. Ça passera, elle le sait, mais pour l'instant elle a juste envie de fusionner avec les murs pour ne plus rien ressentir.
Son visiteur avait le coeur gros, tuméfié et enflé d'un deuil trop lourd pour lui. Trop étouffant au point de ne plus savoir vivre, de se sentir mort comme son fils perdu. Carmin l'en a libéré, pour un temps. Le temps de redécouvrir l'avenir du côté de la vie. Et maintenant, c'est à elle de trinquer. Quand lui pleurait la perte d'un être cher, Carmin pleure sa solitude qu'elle a pourtant choisit. D'ordinaire, elle aime cette liberté inconditionnelle, mais pas aujourd'hui. Les douleurs artificielles réveillent les vieux doutes, ceux qui nous assaillent les nuits d'insomnies ou les jours de pluie. Et si ses voyages incessants n'étaient qu'une fuite, et s'il valait mieux s'enraciner ? Et si elle devait passer plus de temps avec Zéphyr, s'occuper de lui mieux que ça, mieux que là ? Et si elle se trompait, ratait sa vie depuis le début à ne pas chercher la sécurité, un foyer, une routine ?
Ses yeux s'embrument, son visage se niche un peu plus contre ses genoux, ses pieds nus se recroquevillent. Ce coeur d'habitude assez grand pour accueillir à part égale chaque facette de la vie, ce coeur là est gangrené de doutes et souffre de n'appartenir qu'à Zéphyr. L'homme est un animal grégaire après tout. Carmin s'enferme au milieu de la vie, ombre invisible contre son mur de brique. Au coeur d'une ville imposante, elle se sent seule. Si seule. Résignée, une part d'elle sait que c'est passage et n'espère qu'une chose : pourvu que ça passe vite. |
| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Lun 30 Juin - 9:13 |
| enchanté, moi c'est Zéphyr informations du personnage • Dit : Poussière • Descendant de : Hécate • Héritage : Imagination débridée et hallucinatoire. Zéphyr voit ses fantasmes et ses frayeurs prendre vie autour de lui. • Fiche : Feu d'artifice
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Zéphyr a mangé des mûres qu'il a trouvé sur un chemin. Ça sert à rien de lui demander où. Zéphyr a mangé des mûres et trop de mûres. Zéphyr a mangé des mûres et il en a été malade. Il a serré les fesses et contracté son ventre, mais ça n'a servi à rien, ça non plus.
Zéphyr a lavé lui-même sa salopette et son slip, qui était déjà sale. Dans une rivière, en passant. Il continuait même à manger des mûres. Il a joué avec les habits mous et lourds dans l'eau. Puis il les a oublié, il s'est retrouvé tout nu, il est retourné au cimetière qu'il venait de quitter, a déterré le cadavre d'enfant qu'il venait d'enterrer, a enfilé les vêtements de l'enfant en s'excusant au moins cinquante fois. De toutes façons, vêtements ou pas vêtements, l'enfant était déjà froid. Zéphyr est parti, très très perturbé, parce qu'il portait un pantalon.
La Contrée des Brumes, c'était sympa. Il connaissait mieux qu'ailleurs. Zéphyr dérive dans les rues, à la recherche d'un enfant, mort si possible, avec une salopette. Y a beaucoup d'enfants seuls sur l'île. Des enfants sans parents. Les parents sont restés ailleurs. Carmin détonne comme une tâche de cacao dans un lait froid. Carmin a une odeur, une odeur qui ne sent pas trop fort, dans l'esprit de Zéphyr. Ce n'est même pas du chocolat. Zéphyr a la réflexion, la sensation,plus aboutie qu'on ne croit.
Zéphyr est content mais ne sait pas l'exprimer, il voit juste le Catalyseur grandir soudainement, tandis que le reste du monde vire au noir et blanc. Son imagination lui indique que Carmin est importante. Zéphyr court vers elle, trébuchant sur ses lacets pas faits, le bonnet qui tombe sur le nez.
– Salut ?
Oui, son ton est interrogatif, comme s'il mêlait le "salut" et le "ça va ?". Mais Carmin ne le voit qu'à peine, car ses yeux sont voilés d'un rideau brumeux et humide, tant et tant qu'on dirait une paupière transparente. Zéphyr est surpris qu'elle ne dise rien sur son pantalon.
– Tu as mal où ?
Il remarque bien le corps rabougri, les muscles contrits, et ce marron qui tire vers le gris.
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| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Sam 5 Juil - 18:23 |
| enchanté, moi c'est Carmin informations du personnage • Dit : Le Catalyseur. • Descendant de : Sagittaire. • Origine : Zodiaque occidental. • Héritage : Anesthésie émotionnelle. •• Carmin peut plus ou moins anesthésier les douleurs émotionnelles. Pour un temps, et par contact physique. Mais elle a un contre-coup, plus tard.
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Elle a l'âme qui bruine, Carmin, et ça se voit. Elle se blottit dans un coin pour se faire oublier, et ça se voit. Elle ressemble à tout le monde, tous ceux qui dépriment, tous ceux qui n'ont plus rien. Et puis, surtout, elle se sent hors de tout. Normalement, ce n'est pas un problème, mais aujourd'hui ça fait mal. Mal à en pleurer, mal à en crever.
Elle ne bouge pas, Carmin, c'est une statue vivante, un ange pleureur qui perd ses couleurs. Le désespoir la noie, littéralement, et la brune perd pied. Perdait pied, en tout cas, jusqu'à ce qu'une voix la tire de sa solitude. Un bref moment, la Catalyseur veut lui dire de partir, de la laisser à sa solitude déprimée ou de la lui ôter tout à fait. Un moment, la Catalyseur veut se replier davantage, quand bien même elle a reconnue la voix. Mais elle insiste, cette fameuse voix au timbre unique, aux sonorités magiques. Elle insiste, elle s'inquiète, elle ne lâche pas.
Alors Carmin lève les yeux vers toi, Zéphyr. Et c'est sans répondre d'abord qu'elle t'observe, toi, petite poussière. Tellement unique, tellement magique. Les ancres, on ne les envoie pas valser comme ça. Les ancres, on s'y agrippe pour ne pas dériver, on s'y accroche comme si la vie en dépendait. Alors c'est ce qu'elle fait. On commentera le pantalon quand ça ira mieux, on parlera de ta frimousse adorable après, on.. Plus tard. Tout ça, plus tard. Là, elle n'est pas en état et ça l'énerverait presque encore plus de ne pas pouvoir prendre soin de son bout de chou tout de suite. Elle se sent indigne, Carmin, et ça n'arrange rien.
Alors elle se redresse un peu, juste assez pour te happer et te serrer contre elle. Comme si sa vie en dépendait, comme si elle risquait de se perdre, en pleine dérive qu'elle est. Là, à cet instant, t'es son Ancre, son Phare, sa Bouée. Le truc qui sauve, qui peut sauver en attendant le retour du beau temps. Elle te serre contre elle, Carmin, en pleurant presque que ses orages d'âme l'empêche de voir ton sourire et de le savourer. Et c'est d'une petite voix qu'elle te répond.
- J'ai des bleus à l'âme. Ça passera. C'est pas grave.
C'est pas grave, non. Mais ça fait mal quand même. Elle se raccroche à toi, Carmin, à ton odeur, à ta peau chaude, à ton petit corps qui hurle la vie.
- J'suis désolée.
Et la honte remonte, plus que la douleur, plus que la solitude. La honte de t'imposer ça, de ne pas pouvoir s'occuper de toi. La honte d'être faible, au fond. De ne pas être toujours joyeuse, toujours forte, toujours solide.
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| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Mer 16 Juil - 9:49 |
| enchanté, moi c'est Zéphyr informations du personnage • Dit : Poussière • Descendant de : Hécate • Héritage : Imagination débridée et hallucinatoire. Zéphyr voit ses fantasmes et ses frayeurs prendre vie autour de lui. • Fiche : Feu d'artifice
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Les tourments de Carmin sont bien hors d'atteinte de Zéphyr. Il ne comprend pas pourquoi elle s'excuse, aussi cela le fait-il angoisser légèrement, car une excuse ensuit une blessure, une catastrophe, quelque chose qui ne laisse pas indemne. Mais comme la Poussière n'en connait ni la forme ni l'origine, il se contente d'essayer d'évaluer la gravité de ladite catastrophe invisible. L'espace d'un instant, il fait le lien entre la première phrase de Carmin et la seconde, mais ça ne colle pas. Ses sourcils bruns se froncent sous l'effort de la réflexion. Elle est désolée d'avoir des bleus ? Peut-être pense-t-elle qu'elle est moche maintenant. Peut-être pense-t-elle que Zéphyr l'aimera moins. Ah, Carmin, vraiment, n'importe quoi.
La Poussière secoue doucement la tête en expirant un soupir tendre. Il s'assoit juste à côté d'elle, mais ne se replie pas lui, pas comme Carmin, pas comme ces fleurs étranges qui recentrent leurs pétales lorsqu'on les frôle du doigt. Il a les jambes écartés, le corps vivant. Il pose son sac à dos à côté de lui et ouvre la poche de devant, pour laisser sortir Pain de Mie. Puis, il retrousse laborieusement ses manches – il doit s'y reprendre à plusieurs fois, ce n'est pas facile – et expose ses bras nus en les remuant lestement devant lui, et devant Carmin. Des écorchures, des morceaux de peau séchés, quelques traces mystérieuses, et puis là, et là, et encore là, des bleus.
– Tu vois, moi aussi. Toi à l'âme, moi au bras.
Il ne sait pas trop ce qu'est l'âme, Zéphyr. Il contemple longtemps les meurtrissures qui encombrent sa peau. Il appuie, tire, effleure. Certains bleus sont devenus verts, jaunes.
– Carmin, tes bleus sont bleus aussi ? Parce que comme tu es noire, ils devaient être... marrons très foncés. Tu crois pas ? Pain de Mie, on ne peut pas voir ses bleus. N'empêche que quand les bleus sont sur la tête, on ne les voit pas non plus. Sauf si on est chauve.
Il rit, et son rire n'est pas très beau, un peu frénétique.
– Carmin, l'âme c'est plutôt quelle partie du corps déjà ?
Il sort des mûres écrasées de son sac à dos – elles ont tout taché – et en donne à Pain de Mie. Il prend un air concentré, savant, comme pour mieux illustrer que sa question ne résulte que d'un oubli, d'une distraction, et non d'une ignorance crasse.
– Et comment ça se guérit les bleus ? Je crois qu'il faut attendre. Je crois qu'il ne faut pas appuyer dessus. Même si des fois, on ne résiste pas.
Il prend la main de Carmin et y dépose brutalement une brassée de mûres éclatées. Il s'en est mis partout, sur les vêtements, les mains, sur son hérisson imberbe. A certains endroits, sur ses bras, ça couvre les bleus.
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| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Dim 24 Aoû - 15:13 |
| enchanté, moi c'est Carmin informations du personnage • Dit : Le Catalyseur. • Descendant de : Sagittaire. • Origine : Zodiaque occidental. • Héritage : Anesthésie émotionnelle. •• Carmin peut plus ou moins anesthésier les douleurs émotionnelles. Pour un temps, et par contact physique. Mais elle a un contre-coup, plus tard.
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Il est bien, Zéphyr. Il est ailleurs et présent en même temps, c'est un bout de ciel bleu dans l'humeur pluvieuse de la zodiaque. Elle lui sourit un peu, quand il s'assoit à côté d'elle. C'est timide, mais y a ta présence qui aide. Mais tu ne t'arrête pas là, non. Sur tes petits bras pâlots, des écorchures à fleur de peau. Elle soupire, Carmin, en voyant ça. Ses sourcils se froncent un peu, comme à chaque fois que tu te blesse. Zéphyr, bon sang, fais attention à toi. Ses mains d'ombres effleurent les blessures alors que la zodiaque affiche une petite moue contrariée. Ça l'embête, ces bleus. Mais au moins, ça la distrait des siens qui commencent à pâlir. Grâce à toi ? Surement un peu, oui.
- Tu ne fais jamais attention à toi, pas vrai ma Poussière ?
C'est dit gentiment, comme on gourmande avec fatalisme sans s'énerver pour autant. Un nouveau soupire lui échappe, et la jeune femme lève les yeux. Tes remarques l'amusent presque, tes interrogations sont inédites. Logiques, mais inédites. De nouveau, le fond de sourire apparaît, et son regard reprend un peu de vie quand il se tourne vers toi.
- Mes bleus sont marron sombre, oui. Mais on appelle ça quand même des bleus.
Les mûres écrasées lui font hausser les sourcils. Toi et ta manie de fourrer tout et n'importe quoi dans tes poches, vraiment. Tes vêtements vont être.. Oh et puis zut. Qui se soucie qu'ils soient propre ou non ? Qui se préoccupe qu'ils soient élimés ou non ? Pas Carmin, qui elle-même te connait trop bien pour te demander d'être impeccable. Et puis, elle a un mode de vie qui ressemble au tiens. Et quand on est nomade, on ne peut pas être avec des nippes impeccables. Ça, c'est sûr. Alors elle sourit en voyant ton butin et réfléchit à comment répondre à la question. Comment expliquer pour que tu comprennes. Ça fait partie de son rôle d'ancre, de t'expliquer les choses. Et ça fait partie du tiens de lui faire redécouvrir les choses quand tu lui en parles avec ton regard neuf.
- L'âme, c'est pas vraiment un morceau. C'est invisible, c'est l'esprit. Tu sais ce que c'est, l'esprit ?
C'est dur de savoir ce que tu sais ou non, parfois. C'est dur de savoir ce dont tu te rappelle ou non. Mais c'est bien, tu lui fais penser à autre chose. Regarder son nombril en geignant, ça va bien cinq minutes. Mais s'occuper de toi, te répondre, elle ne peut pas le faire en n'étant qu'à moitié là. Non, ça l'occupe toute entière, pas le choix. Et c'est bien, c'est beau. Tu aides à chasser les nuages et la tourmente dans son âme. Sans autre forme de procès, tu lui fourres dans la main un peu de ton trésor violacé. Autant les baies noires colorent ton épiderme, autant leur marque est invisible sur la peau de la jeune femme. Ses bleus à elle ne se voient pas. Avec un sourire -un sourire un peu plus vrai cette fois- elle te remercie du regard et pioche dans le tas.
- Faut attendre, oui. Ça finit par passer. Mais les bleus à l'âme, c'est pas pareil que les bleus sur le corps. Parce que pour pas appuyer dessus, faut pas y penser. Et c'est pas facile de choisir à quoi penser, des fois.
Une caresse sur ta joue, légère. Pour sentir ta chaleur, pour savourer ta présence. Tu es fortiche, petite ancre. Tu la ramènes au vrai.
- Je suis contente de te voir, Zéphyr.
Ça aussi, c'est du vrai. |
| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr Sam 6 Sep - 18:01 |
| enchanté, moi c'est Zéphyr informations du personnage • Dit : Poussière • Descendant de : Hécate • Héritage : Imagination débridée et hallucinatoire. Zéphyr voit ses fantasmes et ses frayeurs prendre vie autour de lui. • Fiche : Feu d'artifice
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De l'extérieur, on penserait que Zéphyr n'écoute pas Carmin. Parce que son corps s'agite, remue comme une araignée affairée, parce que ses yeux dérivent. Parce qu'on le prend souvent pour un être un peu sot, aussi. Mais Zéphyr entend, écoute bien. Les mots se dispersent certes un peu et peinent à se fondre dans une logique linéaire dans sa tête, ils dansent légèrement. Mais ça vient. Laissons-lui le temps. Zéphyr prend son temps. Comme le vent.
– Ben oui, quand même. Hahahaha...
Il glousse un peu exagérément.
– C'est là où y a les pensées, les rêves, et tout...
Il remonte ses genoux et plonge son visage dedans. Ses yeux bleus fixent les pavés et ses doigts grattent le sol sans raison. Les passants lancent parfois des regards en biais aux deux silhouettes affalées sur le trottoir, et la saleté de Zéphyr semble les intriguer. Les irriter parfois. Zéphyr ne le remarque pas.
– Ben moi j'ai une technique. dit-il très sérieusement, gravement même. Pour pas y penser. J'ai une technique. Je remplace la pensée par une image, de préférence méga colorée. Pas un arc-en-ciel non plus, Carmin. Par exemple un papillon très très bleu. Tu ne penses qu'à ça, après ils existent mais même si tu ne fais que les voir dans l'esprit – l'esprit tu vois – ils existent un peu. Et ils chassent les bleus de... l'âme. L'âme.
Il réfléchit.
– Tu sais moi je confonds "l'âme" et "mal", comme mots. Comme cette femme qui appelait Pain de Mie : Pomme de Pin. Tu te souviens ?
Mais Carmin n'était pas là ce jour-là. C'est juste qu'en fait, pour Zéphyr, Carmin est toujours là.
– Pourquoi tu es contente, Carmin ? Pour les mûres ? Tiens, prends en encore, de toutes façons j'en ai trop. Et puis... ça me fait faire caca, mais tu sais... trop, quoi...
Il s'essuie le nez et détourne le regard, gêné.
– Bon allez, décide de ta pensée qui chasse. Après je décide la mienne !
Le jeu le fait sourire et il secoue ses jambes repliées, fixant la jeune femme d'un air ravi et impatient. Le visage de Carmin est vraiment doux.
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| | Re: Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr
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| | | Euuuuuuuuh.. • Feat. Zéphyr | |
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