parent divin ϟ Arès • Divinité grecque de la guerre.
héritage ϟ Force herculéenne • Ne jamais jouer au bras de fer avec à la digne héritière d'Héraclès. Cela risquerait de finir par un bras dans le plâtre. Parce que Willow, tu contrôles assez mal cet héritage, et tu adooores ton tendre paternel pour un tel cadeau. Tu ne sais pas ne pas faire mal. Tu évites au maximum les contacts physiques, mais aussi les sentiments trop brusques -enfin, tu fais de ton mieux. Non pas que cela ait une répercussion particulière, juste que tu ne contrôles pas cette capacité, donc tu peux bien exploser les os des gens en leur faisant des câlins un peu trop enthousiastes. Tu n'es pas surpuissante, mais c'est déjà un peu trop pour toi, la plupart du temps. Parce que sentir un os se craquer sous son poing, c'est surement une des sensations que tu apprécies le moins. On a beau dire qu'on s'y habitue, c'est quand même pas agréable, point.
A préciser que ton corps n'est pas indestructible, et donc, frapper dans un mur, c'est bien, ça fait mal au mur, mais ça fait mal à ta main aussi. Surtout à ta main. Parce que le jour où on entendra un mur se plaindre, on flippera un peu.
groupe ϟ Deasks • Combattante • Réaction d'adolescente, tu as toujours ressenti le besoin de t'opposer à l'autorité. Réaction de fille d'Arès, tu as toujours envie d'en découdre, tu te bats souvent. Ajoutez les Deasks : ils sont contre l'autorité, et ils se battent. Résultat = tu es une deask, tu es contre l'autorité établie, tu te bats. Et qu'on essaie plus de te marcher dessus, tu le prends plutôt mal.
... Ou comment dire que si tu fais parti des deasks, c'est parce que ta violence pourra enfin servir à quelque chose, tout en allant de paire avec une opposition à la religion qui est ancrée en toi. Pas vraiment là par conviction... Si ?

« Tu t'es foutue un pot de peinture sur la gueule ? »

Willow, tu te souviens encore de la tête qu'ont tiré tes parents, en te voyant arriver pour la première fois avec ta chevelure azure. Marquant.  Tu as cru qu'ils allaient s'évanouir, et tu ne t'es pas gênée pour afficher un sourire franchement satisfait. C'était l'effet escompté. Couleur choisie au pif, sans réelle préférence, juste parce que l'adolescence, ça peut être violent, parfois. Tes bourges de parents t'exaspéraient. Bah voilà : tu as flingué ta magnifique chevelure d'or des plus longues pour le leur montrer, parce que "c'est moche le bleu !! D8". Point. Ouais, violente, l'adolescence...

Mis à part tes longs cheveux virant entre l'azur et le turquoise, rien dans ton physique ne ressort. Tu es jolie, oui, mais tu n'es pas extraordinairement belle ou attirante, plutôt banale. Tu n'as pas un physique de princesse gracile -ce qui est plutôt en accord avec ton comportement de camionneuse-, tu n'es pas maigrelette, tu as des formes, tu es même un peu ronde, sans que cela ne soit trop. Tu es juste passe-partout... Ouais bon, à part tes cheveux. Que tu attaches le plus généralement en couettes, parce que des cheveux qui arrivent au fessier, c'est long. Pourquoi tu ne les coupes pas, déjà ? Parce que t'aimes bien. Ouais, tu es, paradoxalement, un rien féminine, tout de même. Des cheveux longs, bof. Des cheveux longs bleus, cool !

On le comprendra, ton physique se résume à ta chevelure. Ou du moins, ce que l'on en retient.

Un visage plutôt rond, un peu enfantin, des cils longs et courbés mais si blonds qu'ils en deviennent invisibles, maquillés le plus généralement, de grands yeux d'un beau bleu clair, ciel, avec des pépites d'or qui leur donne une couleur nageant entre le vert et le turquoise; petite bouille assez jolie, voilà, c'est ton visage. Quelques tâches de rousseurs pour parsemer le tout, te donner un peu des allures de lutines, juste un rien trop grande pour cela; des cheveux qui ont légèrement tendance à boucler, une taille des plus communes perchée sur des talons, un tour de poitrine pas des plus extraordinaires mais suffisant pour ne pas complexer, tu es une jeune femme, voilà, c'est tout ce que l'on peut penser lorsque l'on te rencontre. Une jolie jeune femme, qui vous fait douter quant à son âge à cause de la forme de son visage et de, pour la énième fois, la couleur de ses cheveux. Tu ne fait pas vraiment gamine, concrètement, plutôt adolescente, et on a un peu de mal à situer ton âge. Dix-huit ans tous pils, on a tendance à te donner entre seize et vingt ans. Mais on cherche plus trop quand tu finis par nous sauter à la gorge.

Plutôt classique, pas très coloré, tu as quitté ton ancien style. Ou plutôt, tes anciens styles. Ado, tu es passée par le punk, le gothique, tous les styles "destroy" possibles, déchiré tes fringues de riche gosse, et comme tes parents étaient aussi têtus que toi, cela n'en finissait jamais. Maintenant, ils ne sont plus là. Alors tu es un peu -beaucoup- plus libre, tu préfères mes jeans, tes bottes montantes en cuire, et tes gros pulls déformés. Tu fais plutôt classique, mais quelques fois, tu t'amuses un peu, et hop, une robe blanche, des chouchous colorés et des ballerines fleuries. Mais ne nous leurrons pas. C'est carrément rare. Tu n'es pas des plus excentrique, mais parfois, tu t'amuses, voilà. Les robes n'ont pas non plus désertées ta garde robe, mais... Mais on les voit assez rarement sur toi.

« On fonce tête baissée, on réfléchit pas, on est pas fait pour ça. »

Non, décidément, tu n'es pas des plus malignes. Sans aller jusqu'à dire que tu es stupide, tu... Bon d'accord, tu es stupide. Irréfléchie, spontanée, et violente par dessus le marché. Antagoniste même de la pacifiste, tu es celle qui gueule « DU SAAANG ! » avant de sauter sur les gens et de les taper -et ce sans avoir une raison au préalable-, surement pas celle qui calme les conflits, plutôt, même, celle qui les envenime. Et ce, que ce soit volontaire ou non.

Ce n'est pourtant pas ton héritage, mais tu as un don pour énerver, que cela soit pour tes passages neuneus, tes répliques soit dérangeantes soit carrément puériles, ton énergie un peu trop débordante, et ton caractère de chieuse qui vous pollue la vie. Allons, cherchons des qualités à cette pauvre Willow. Tu es.... Gentille... Pas méchante... Au fond... Non, sérieusement, tu as bon cœur, tu es généreuse, tu... T'emportes juste trop facilement, tapes sur les gens trop facilement, te contrôles très mal, ne réfléchis pas avant d'agir ou de parler, et même après, es impulsive, sauvage à souhait; tu es juste invivable, intenable, insortable. En plus d'être hyperactive et beaucoup trop joyeuse -si, c'est lourd, chiant, étouffant.

Tu agis comme une gamine alors que tu ne l'es pas, et ça, c'est exaspérant. Les seules fois où tu agis en jeune femme, c'est quand tu agis de façon, encore une fois, totalement irréfléchie, et ce dans un contexte défini : les combats, les joutes verbales, tout ce qui est lié, de près ou de loin, à un conflit. Là, tu n'as plus rien d'une gamine, plutôt une véritable machine de guerre -nous parlons bien du point de vue caractériel- qui, comme si tu te réveillais d'un long sommeil, te percutes et te fais agir en adulte. En adulte irraisonnée qui ne sait pas ce que "plan" signifie et qui a tendance à tout foutre en l'air. C'est dur, la vie.

En fait, si on veut t'utiliser à bon escient, c'est simple : on t'envoie dans le tas pour déblayer un peu, puis on peut mettre en place une quelconque stratégie, sans t'y impliquer de préférence.

Chieuse à plein temps, tu n'as pas de gêne, t'invites sans autorisation, gueule pour un rien, et tu as pour ainsi dire tes règles H24, 365 jours par an. Attention : tu es joyeuse, hein, mais tu t'énerves juste trop facilement, insultes facilement, et finis par taper facilement. En plus, tu es d'une mauvaise foi incroyable et tu as des difficultés énormes à assumer tes erreurs -assumer ? what's this ? cela se mange-t-il ?-, mais aussi à pardonner; parce qu'en plus, tu es rancunière. Tu n'as aucun problème à être désagréable avec autrui, même avec des gens que tu ne connais pas, eux d'ailleurs, ont tendance à te fuir. Il faut dire qu'au vu de ton comportement, il est assez difficile de tisser des liens avec toi, et plus encore positifs. C'est con, parce qu'à bien y regarder, tu n'es pas si forte : tu es même plutôt fragile. Tu n'es bien évidemment pas une petite fleur qui se cache dans une coquille pour se protéger : tu es une bourrine pure jus, mais tu es insouciante, et si on regarde bien, on voit les fissures dans cette grosse armure de cristal. Tu es manipulable, quoi que tu en dises, tu es un rien naïve, tu es jeune, après tout. Et tu te poses le moins de questions possibles, surtout : parce que commencer à se questionner, c'est vite tomber dans un véritable siphon. Alors tu étouffes tes doutes, tes questions. Tu agis, tu passes à la trappe la case "réflexion", parce que c'est milles fois plus simple.

En fait, on peut résumer ainsi : Willow, tu es un véritable boulet.

« T'as rien manqué, Gerard. Juste quelques pots de fleurs, l'alarme incendie du lycée, la nouvelle déco du bureau de mon père, la collection de chewin gum dans la garde robe de ma mère, la disparition subite du caniche du voisin, l'aparition d'ovnis dans le coin, une plainte ou deux, et Dei Cataclysm. »

"Fille d'une première union", tu es fille unique, tu n'as jamais connu ton père biologique, et on n'en parlait jamais, à table, ni nulle part ailleurs, d'ailleurs. Tu n'as jamais eu de frère et sœur, tout simplement parce que ton père ne voulait pas d'enfants, mais que s'il voulait ta mère, bah, fallait te récup' avec. Arnaque, peut on penser. Tu n'as jamais eu la sensation d'être aimée par ce dernier, mais pas celle, non plus, d'être détestée. Juste une profonde indifférence, ce qui aurait amplement pu l'élever au rang de dieu du fait de ton comportement des plus imbuvables que ta mère même ne supportait plus. Tu as finalement, toujours été plus proche de cet étranger que de ta propre génitrice.

Il fallait dire, il avait la méthode : il t'ignorait simplement, quand ta mère crisait encore plus et réagissait au quart de tour. Si cela n'avait été que lui, il aurait arrêté de t'acheter des fringues, par exemple, jusqu'à ce que t'ai plus rien à te mettre et que tu te décides à t'arrêter sagement, histoire de pas crever de froid en hivers. Mais ta mère tenait bon : vous étiez une famille aisée de Manhattan, alors ton comportement, disons le, était franchement insultant et humiliant. Non pas que ta condition te déplaisait mais... Mais t'étais une chieuse, voilà. Une adolescente, et une adolescente, ça braille, ça désobéit, ça tient tête à ses parents. Sauf que toi, en plus, tu te battais avec des gens de ton bahut, lançait des boulettes de papiers sur tes profs et déclenchait les alarmes incendies, envoyait des bombes puantes et autres joyeusetés. Tu avais une réputation de petite frappe, et tu as été virée de plusieurs établissements.

Une bourge, vous avais-je dit ?

Bien évidemment, les établissements huppés, au bout d'un moment, refusèrent ton entrée, et tu te retrouvas dans un établissement plus... Et bien plus commun, moins riche, et surtout public. Claque dans ta face, ça change. Mais tu t'y adaptas plutôt vite : et tu t'y sentis fichtrement mieux, sans tous ces coincés des beaux quartiers. Et le reste de ta vie scolaire s'écoula déjà plus paisiblement. Bon, sauf que tu restais chiante, on te change pas comme ça. Mais au moins, tu n'étais pas dans les plus mauvais élèves... Tu étais plutôt moyenne, sauf en sport et en musique, ou tu excellais.

Et pour cause, tu te la coltinais depuis ton plus jeune âge, la pratique musicale. Cela aurait pu être la batterie, tu aurais gueulé "OUI"... OUI mais non, justement. C'était un truc plus doux, plus "noble", surtout -dixit ta tendre daronne- : le violon. Et tu en as pété, des violons (et là on pleure, au vu du prix d'un violon), des archet (idem.) et tout ce qui va avec. Tu n'étais pas mauvaise, mais pas passionné, alors nécessairement... Tu ne faisais pas vraiment d'efforts. Résultat : tu avais le niveau d'un deuxième année au bout de quatre ans. Mais ta mère persistait, parce qu'elle était puissante la nana tu vois, et tu en as bouffé, du violon. Jusqu'à ce que tu commences à y prendre un véritable plaisir : déjà, elle te lâchait la grappe quand tu jouais, et ce même si tu venais de détruire sa garde robe entière des plus coûteuses, et en plus, tu ne pensais alors plus qu'à ça, et ce que cela pouvait être agréable ! Tu ne pensais plus, réellement plus, encore moins que d'habitude -c'est dire-, tu te laissais juste porter. Ainsi, le violon fut la seule délicatesse que l'on pourrait trouver chez toi. Ça sert à rien de chercher, y a vraiment que ça. Finalement, tu n'es pas mauvaise, maintenant, plutôt bonne même, tu n'es juste pas une génie, mais ça suffit pour impressionner ceux qui s'y connaissent pas, alors bon... On y gagne quelques pièces, tout de même.

A côté du violon, tu continuais ton adolescence turbulente, entre les renvois et tout ce qui s'ensuit, et passa même ta première nuit au commissariat après qu'un de vos voisins n'est porté plainte contre toi et que, en plein milieu de son salon, tu ne sois prise en flag' en renne, après avoir fracturé la serrure, en train de visionner les films pornos du dit-voisin. Nous passerons sous silence la fois où tu avais, notamment, repeint le bureau de ton père, avec toutes les affaires et papiers importants à l'intérieur, ou encore celle ou tu avais maquillé un de ces subalternes ou... Non mais on y passerait la journée, à lister tes conneries. Encore heureux que papa et maman étaient friqués, en fait. Encore que la fois de la déco du bureau de ton père, cela n'avait pas été de tout repos... Dans la mesure où il t'avait fait retaper absolument tous les textes et dossiers possibles que tu avais endommagés. Et ce en une semaine. Esclavagisme.

Pour conclure quant à ce sujet, ta vie, sur Terre bien évidemment, c'était juste un énorme capharnaüm monstrueux et des plus chaotiques, et tes parents doivent être un rien heureux que tu ne sois plus là. Ouais, parce que tu as appris que faire du violon, c'était magique : tu jouais, te laissais emporter, fermais les yeux puis, POUF, t'étais plus à la maison.Non mais sérieux, ton violon, en vrai, il doit être hanté... (et puis faut croire que tu as réussis à exaspérer Arès lui-même. sérieusement. tu es magique, Willow.)

Arrivée ici, en pyjama et chausson lapins, armée d'un violon et d'un archet, en plein milieux d'une zone plutôt peuplée, et peuplée, en plus, de gens qui te regardèrent pendant cinq bonnes minutes, un rien surpris avant de... Tourner les talons, comme si de rien n'était.

Ah. Parce que c'était banal, de voir apparaître une nana en pyjama snoopy avec des chaussons lapins, des cheveux en vracs et un violon -et l'archet- à la main ?...Ok. Narmol.

Une lettre en main pour le moins brève, le minimum syndical niveau explications. Et maintenant, démerde toi. « T'es ma fille, aucun soucis. » Ah. D'accord. Tu n'avais jamais rien su de lui et là PAF, c'est un dieu, un dieu de la guerre, et il t'a envoyé, en pyjama -tu avais du mal à digérer- en plein milieu d'un endroit totalement inconnu ?

« J't'aime aussi papa. »

Regard rageur, moue boudeuse, haussement d'épaules... Mode boule dans un coin en attente de fin de déprime passagère... Hop, quelques bonne vingtaines de minutes et tu étais debout, à gueuler quelque chose comme « SALOPERIE DE PATERNEEEEL ! » suivi d'une nuée d'insultes en tous genres. C'était pas tout ça, mais ça ne t'aiderait certainement pas, dans l'immédiat. Alors tu commenças à parler aux passants, à essayer de comprendre. Après plusieurs heures, tu avais enfin une véritable explication : tu étais la fille d'Arès -soit la seule info utile que tu avais extraite de ta lettre-, tu étais sur Dei Cataclysm, et tu rentrerais pas de sitôt. Yeah. Bon, au moins, tu n'aurais pas à craindre la réaction de ta mère quand elle découvrirait que tu avais donné aux enfants de la crèche à côté de chez vous tes papiers d'inscriptions à la fac... Ouais, nous dirons que là, c'était le cadet de tes soucis, et que de toute façon, ta mère, tu la verrait plus. Pour la première fois, tu ne savais pas si ne pas la voir était une bonne ou une mauvaise chose. Après tout tu étais... Toute seule, subitement. Soit pas une chose à laquelle tu étais habituée. Ni à un mode de vie plus... Rudimentaire. Un pan, une grande claque dans ta face.

Quelques mois à galérer, à chercher à comprendre quoi faire, maintenant. Quelques mois pour trouver un petit job, après avoir vécu comme une mendiante à ne gagner un pécule qu'en jouant de ton instrument. Quelques mois affreux, et qui s'écoulèrent effroyablement lentement. Mais ça allait, d'un coup. Surtout qu'entre temps... Tu avais découvert ton fameux "héritage". Comment dire que tu ne fut même pas surprise, la première fois que tu compris ? Non parce que la première porte que tu arrachas de ses gonds sans même le faire exprès, si, cela te marquas. Et puis quelques autres événements du type, entre autre une défiguration expresse des plus désagréables -quand tu fous un coup de poing dans le nez alors que tu as tes règles, c'est... douloureux- confirmèrent tes doutes, et te poussèrent à faire plus attention. Ouais. Tu allais devoir apprendre à te calmer... Dammit, ton père était une enflure.

Tu parcourais un peu ce monde, un rien émerveillée tout de même, puis vite, toute cette histoire de Dei, avec les dehistes, les heavs et les deasks te tomba sur la gueule, et tu te mangea tout avec toute l'affection possible de ce nouveau monde. So good. Athée jusqu'à la moelle, et fortement allergique aux religieux -extrémistes surtout-, cela devint vite irrespirable pour toi. Mais finalement, ce ne fut même pas par conviction pure et dure que tu rejoins les deasks, mais plus parce que tu avais la sensation d'y être utile, et puis, tu pourrais t'y battre. Et tu les préférais aux dehistes. Des tarés, sérieux... Alors, finalement, ta place dans tout ça ? Les deasks ? Très certainement. A voir combien de temps tu vas tenir avant de tout envoyer balader...

Kingyo/Candide, 17 ans bientôt 18, j'entre à la fac blblbl je dors mal la nuit du coup parce que je suis une stressée de la vie. Willow, c'est la synthèse de tous les persos que j'aime jouer en général, et voilà. Je suis un poisson rouge qui adore les poissons rouges et je l'assume. Sinon... J'aime le colorfull, j'aime ce fo. Voilà. Parce que je sais pas quoi dire, 'voyez ?

Euh... Un événement plus humiliant pour toi que ton arrivée à Radéa en pyjama ? On peut chercher... Peut être celle où ta mère t'a foutu la pâté au billard, et encore, j'appelle pas ça "humiliant"... Après, t'en as fait tellement, des conneries ! On pourrait citer, par exemple, la fois où tu as réussi à pirater -enfin un de tes potes mais chut- la station de ton lycée et où vous avez donc fait passer en boucle la musique de Nyan-Cat jusqu'à ce que l'on ne règle le problème. En pleins examens. Cette année là, tu as frôlé la maison de redressement.

améliorer le forum ϟ il manque... des poissons rouges. voilà, c'est décrété.
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